la vie de clovis
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Une Montagne de Souvenirs,
et des
Souvenirs de Montagne . . .


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-Faire la connaissance de Clovis.

- Sa vie antérieure à la Savoie.

- L'embauche à la Maison Familiale de Méribel.

-Comment gérer une Maison Familiale de Vacances ?

- Les activités de la Maison Familiale de Vacances.

- Les activités intérieures de la M.F.V.

- Péréniser la Maison Familiale de Vacances.

- Toujours à la recherche d'animations nouvelles.

-L'avenir de la M.F.V. et du Tourisme Social.

- Imaginer un Centre de Vacances moderne !

- Départ à la retraite de Clovis en 2002.

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Clovis au Col du Petit

ou Col du Tachuy.

fin août 2002

merci encore aux

participants .


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clovis au col du petit
C
lovis est né le 27 octobre 1942 à Bournezeau en Vendée. Son père, propriétaire d'une "borderie" à la Forêt de Bournezeau, décèdera "des suites" de la dernière guerre. Il est alors confié à sa grand-mère, à sa tante et à son oncle, à l'âge de 9 mois. Sa grand-mère, qui a perdu son mari à la précédente guerre, est une femme remarquable qui lui inculque une morale sévère avec une grande bonté. Il gardera toute sa vie ces bases et essaiera même de les transmettre à ses enfants. Il a une sœur de quatre
ans son aînée qui, elle, restera avec sa mère mais qui sera également souvent confiée à sa grand-mère pendant les Vacances, retrouvant ainsi son frère Clovis. Il commence son  école primaire au Fuiteau, puis la plus longue période, il la passe à l'école catholique de la Réorthe.
Sa mère se remarie peu après son veuvage et, de ce mariage, naîtra une famille nombreuse, comme cela était souvent le cas en Vendée à cette époque. arrivent notamment deux fois deux jumelles, deux autres filles entre elles, et la famille se termine par un garçon de douze ans son cadet.

Son beau père, ne souhaite pas continuer la culture de la petite ferme, qui est alors vendue. Il entre à la SNCF.
A dix ans, sa mère décide de le reprendre, et ce changement est vécu douloureusement, trop d'habitudes de vie étaient déjà prises. On l'inscrit dans une école publique à Fougeré où sa mère et son beau-père habitent dans une "Maisonnette SNCF" près de la voie ferrée. La vie a complètement changé pour lui, mais il aura alors la chance d'avoir une institutrice extraordinaire
(voir la photo) comme il n'y en a plus de nos jours, qui l'amène, d'une main de fer, à quatorze ans, au "Certificat d'études Primaires". Elle continue, sans le savoir, l'éducation de sa grand-mère, lui enseignant entre autre une morale exigeante.

Clovis voulait être instituteur, c'était son rêve mais, à cette époque, on ne choissait pas, et sa mère décide de l'envoyer apprenti ébéniste à Belleville sur Vie en Vendée. Cette époque est difficile pour lui, car il est complètement abandonné à lui même de 14 à 17 ans. Il mange chez "le patron" et couche dans un petit hôtel familial où il cohabite avec des employés d'EDF en déplacement. Il commence alors à fumer et à faire un peu la fête avec eux.



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clovis a meribel les allues
Heureusement, l'hôtelière le prend en amitié et le protégera.
Clovis traversait l'adolescence et refusa de se présenter à l'épreuve du CAP qu'il dû repasser en candidat libre par la suite sur les conseils d'une personne extérieure.
Après son apprentissage, il fit quelques courtes expériences en attendant de trouver un emploi.
Une opportunité se présenta de manière assez inattendue. Un menuisier de Saint Vincent Puymaufrais en Vendée souhaitait se faire construire des meubles et lui fit confiance. C'était ce qu'il souhaitait et il fît de son mieux pour satisfaire ces personnes. Une amitié très forte se noua et l'expérience dura dix ans ! Il prit confiance en lui et découvrit un autre monde, d'autres valeurs et, en particulier, les bienfaits de "la Famille", merci Dédette merci Roger
A cette époque, il fit la connaissance de Josette, qui travaillait chez un médecin de Mouchamps, et ce fût là le début d'une extraordinaire passion qui changea complètement sa vie. Ils se marièrent en 1965 et habitèrent un tout petit village vendéen, absolument charmant qui vivait en communauté et qui leur ouvrit les bras et le cœur. En 1966, Fabrice, leur premier fils, vint au monde dans cet univers de calme et de tranquillité.
Clovis réfléchissait à son avenir et avait entrepris des études, avec des cours par correspondance qui pourraient par un concours lui ouvrir le poste de "Professeur Technique Adjoint en Ebénisterie". La vie en a décidé autrement pour lui par la suite. La vie est un long fleuve tranquille . . .
Il fit alors la connaissance d'un médecin de Mouchamps et celui-ci lui parla d'une "Maison Familiale de Vacances à Méribel" qui, probablement, devrait rechercher un responsable dans un temps non défini. Il se mit alors à rêver fortement et à se préparer à l'éventualité. Le fait de travailler avec son épouse et surtout de ne pas aller en ville l'intéressait. Les jours passèrent et même une année entière sans qu'il n'entendit parler du poste en Savoie.
Mais un jour, rentrant de son travail, une voiture était stationnée devant sa porte et il reconnut celle du médecin de Mouchamps, Administrateur de l'Association Jeunesse & Famille qui gérait la Maison Familiale de Vacances de Méribel les Allues en Savoie. C'est là que tout allait basculer et que sa vie allait complètement changer. Il ne le savait bien sur, pas encore.


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La montagne

est devenu

et reste

une de ses

nombreuses

 passions.

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Une autre passion,

l'animation,,

partager un

moment

d'amitié.




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clovis et l animation
L'Administrateur proposa d'embaucher le couple en qualité de Maître de Maison, et de Cuisinière-Econome pour Josette son épouse, à la Maison Familiale et décida de proposer ces deux candidatures au Conseil d'Administration de Jeunesse & Famille lors de la prochaine AG.

Leur candidature fut acceptée mais, dans le cas d'un accord de leur part, ils devaient absolument être opérationnels au mois de juin pour une première saison d'été 1971. Nous étions courant avril et il ne leur restait que peu de temps. Il leur fallait, sous la pression du Conseil d'Administration,  donner très rapidement leur accord. Pour Clovis, il était impensable de ne pas tenter cette magnifique expérience, peut-être même cette aventure ! La réponse fut donnée, et il leur restait à se préparer à leur nouvel emploi si différent qui ouvrait la porte sur un autre avenir, sur un autre monde, celui de l'accueil dans les lointaines montagnes des Alpes à Méribel les Allues en Savoie.
La première insertion dans ce nouveau monde, celui du social, du familial et des Vacances, se fit par un premier stage de 15 jours. Cette session était organisé par la Fédération des Maisons Familiales de Vacances à Belmont de la Loire par son secrétaire général de l'époque Henri Gay accompagné et aidée par Maryse. Il avait pour but de préparer les nouveaux directeurs à l'accueil et à la gestion de Maisons Familiales de Vacances. Je ne sais pas Henri si tu liras ces lignes mais, dans tous les cas, Clovis  te rend l'hommage que tu mérites ; tu as toujours été un homme droit, sincère dans tes convictions. Tu aimais l'hommes et tu avait un grand sens du social. Merci Henri, Clovis a essayé toute sa vie professionnelle de suivre la voie que tu lui avais tracée, loin du profit, mais près des hommes.
Leur arrivée à Méribel se fit le 15 juin 1971. Ils prirent possession de leur appartement qui avait été construit peu avant en 1968.
  (voir l'histoire de Jeunesse & Famille) Le 16 juin, le temps s'étant refroidi, il neigea 5 cm. Venant de Vendée, cela les marqua. Là encore, ils eurent la chance d'être accueillis par de sympathiques voisins qui les aidèrent à comprendre ce pays et à connaître les habitants de la vallée, les petites histoires locales et la tradition. Merci madame Blanche, merci Michel.
C'est alors que Clovis pris totalement conscience de ce qu'il lui fallait apprendre et quel énorme travail l'attendait, mais, c'était là sa force, il ne douta à aucun moment de la réussite de l'entreprise et se jeta comme toujours dans la bataille.
Heureusement, la Maison Familiale était très petite et elle lui permis de "se faire la main". La comptabilité et les réservations se feraient dans un premier temps à l'extérieur par un bénévole de Mouchamps (coiffeur de son métier) le temps d'apprendre et de comprendre comptabilité et réservations, ce qui se fit dans les deux ans. Comme prévu toute la gestion, les réservations revînrent alors à Méribel .
En parallèle, il fallait au plus vite penser à des activités pour les Vacanciers, préparer et organiser les sorties montagne. A l'époque cela était un plus non négligeable offert aux Familles. Cette activité commença progressivement par obligation pour devenir une véritable passion qui ne le quitta plus. Clovis fut le premier accompagnateur de moyenne montagne de la Vallée des Allues. Cette profession n'existait pas et n'avait aucun cadre juridique. Une dizaine d'années plus tard, la loi sur l'organisation des métiers de montagne fut promulguée sous l'égide du temps libre à cette époque. Le premier mars 1978, Clovis obtint l'équivalence du "métier d'accompagnateur en moyenne montagne
" (attestation).
Clovis a emmené près de dix mille personnes en montagne en 31 ans. L'objectif était toujours le même, leur faire découvrir ce
(milieu merveilleux) et leur permettre de l'aimer dans des conditions sécuritaires les plus exigeantes possibles. Ces sorties n'étaient pas seulement des "randonnées en montagne", mais bien autre chose ; chacune d'entre elles se voulait être un partage dans la découverte et l'amitié.

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clovis et la sortie saulire
C'est alors que l'on peut faire quelques petites statistiques amusantes telles "5 tonnes de Beaufort consommées au casse croûte du matin" en montant et en particulier, sur le "rocher du fromage" dans la Vallée de Champagny ...
Les pique-niques sont maintenant devenus individuels, ils étaient collectifs ; là est toute la différence, l'image d'un changement de société !
Clovis remercie tous les Vacanciers qui ont participé à ces sorties et qui l'ont aidé à créer cette ambiance merveilleuse de fête au travers d'une activité, "les randonnées en montagne". Elles lui ont permis d'apporter un peu de bonheur aux participants par le goût de l'effort et de la découverte. Il remercie également les Vacanciers fidèles, qui "se reconnaîtront facilement", (Il ne peux citer chacun d'entre-eux) de l'avoir aidé et de lui avoir permis de continuer pendant aussi longtemps à développer la Maison Familiale de Vancances "Jeunesse & Famille", toujours dans le même but non lucratif, dans le partage et l'amitié.
L'activité d'été n'était pas la seule, bien sûr,  dans une maison aussi bien placée pour pratiquer le ski. Ce sport n'est pas aussi facile à mettre en commun mais, durant des années, des pique-niques de toutes sortes furent programmés,  souvent sur les plus hautes cîmes telles "la Cîme de Caron" ou "le Col de Chavière". Ces belles sorties n'étaient malheureusement pas à la portée de tous au niveau technique. Pour cela, avec l'agrandissement de la Maison, "des rencontres buffet d'altitude" furent organisées à la Saulire pour pouvoir regrouper un maximum de personnes. Certaines fois,  pendant les Vacances de février, plus de cent personnes à la fois y ont participé. Un comptoir taillé dans la neige permettait d'offrir aux Familles les meilleurs mets de Josette qui, pour cela, devait beaucoup travailler. Merci Josette d'avoir suivi le rythme infernal imposé, pour le bonheur de tous. Il faut noter le pain d'épice, recette de la Grand mère de Yanno, ...etc. Un petit souvenir du "kir rouge appelé communard" et du dessert qui permettait l'explication complète du panorama extraordinaire du point de pique nique, sur les montagnes environnantes, dont voici un extrait :

"Le plus  à gauche du panorama, vous découvrez le Grand Combin 4314 m, puis 
le Mont Pourri 3779 m, puis le Dôme de la Sache 3601 m et, tout suite à droite, mais beaucoup plus au fond, la Plate des Chamois 3567 m qui est sur la Frontière Italienne. Devant vous maintenant, vous avez la Pointe de la Becca Motta 3045 m. Cette pointe, qui penche à droite, est un "plus de 3000 m" qui se gravit bien l'été et où de nombreux groupes Jeunesse & Famille sont allés. Ensuite, le Grand Bec 3398 m et la Pointe du Vallonnet 3372 m avec, devant elle, le glacier de la Vuzelle qui ne cesse de regresser devant les montées de température. Il est maintenant difficile d'y voir ce que voyaient les gens de Courchevel : une Anglaise buvant le thé . . .

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Une Sortie

merveilleuse


avec Alain

aux


Ménuires.


Merci Alain.





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Une vie partagée

entre l'accueil la

La gestion

et la Montagne.

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clovis et le ski dans les 3 vallees
Puis, vous avez la Grande Casse 3855 m, qui constitue le plus haut sommet de la Vanoise. Un peu sur votre droite, vous avez le Plateau des Glaciers de la Vanoise qui constitue la plus grande réserve d'eau d'Europe avec, de gauche à droite La Réchasse 3212 m, la Pointe du Dard 3206, regardez sa forme avec ce rocher pointu debout à l'arrière, on dirait une grosse guêpe qui aurait un dard sur la queue prêt à vous piquer. Viennent ensuite, le Col du Dard 3153 m puis le massif du Pelve avec sa pointe occidentale 3254 m. Vous arrivez alors au Dôme des Sonnailles 3361 m. "On dit" que sur ce mont au XVème siècle, neige et glace auraient complètement disparu et que les troupeaux seraient montés paître... Dans le même temps, dans le massif du Mont Blanc au Col du Géant, on relate la même chose. Cette période aurait été suivie d'une mini- glaciation où les "bouteilles de vin" gelaient dans les caves de Paris... Continuez alors sur votre droite où trône, au beau milieu du plateau glaciaire, le Dôme de Chasseforêt 3586 m puis, dans l'ordre, les Nants 3570 m, le Dôme de l'Arpont 3599 m, le Dôme du Génépy 3576 m, la Pointe du Génépy 3551 m, le passage de Rosoire 3479 . et la Pointe de Labby 3521 m. Derrière, apparait la Dent Parrachée 3697 m. Puis, toujours plus à droite, la Pointe de l'Echelle 3422 m. Un peu devant, le Glacier de Gébroulaz avec le Dôme de Polset 3501 m, l'Aiguille de Polset 3531 m puis, l'Aig
uille de Péclet 3561 m. Pour finir, sur la droite, la Cîme de Caron avec sa "Tour Eiffel" au sommet que vous connaissez tous...  J'espère que vous avez passé un très agréable "Buffet d'Altitude" et, après la "petite poire" pour ceux qui le désirent, je souhaite à tous un excellent après midi. Bon ski et à  ce soir !"

Et le soir, c'était la fête trois fois par semaine. Clovis a participé à de très nombreuses formations sur "l'animation". Contrairement aux méthodes actuelles dans les Centres de Vacances, copiées et uniformisées sans caractère personnel, où l'animation est identique et omniprésente à tout moment de la journée, il préconisait trois grandes fêtes par semaine, d'un genre complètement différent. Il fallait laisser, disait-il,  la possibilité aux familles de participer à des loisirs de leur choix organisés par la station de Méribel, cinéma, conférences ou autres. Cette méthode n'a pas toujours été comprise sur la fin de ma carrière, dit-il, au moment où les Familles arrivantes n'étaient plus des "Familles participantes" devenaient des"Familles conso
mmatrices". Les temps ont changé et les Maisons Fa
miliales aussi. D'ailleurs, en existe-il encore ?



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clovis la fete et la fondue
Il faut noter, à ce niveau, les très bonnes soirées"Fondue" qui avaient des participations proches de la totalité des Vacanciers et qui rencontraient un énorme succès avec un slogan chaque fois renouvelé à l'apéritif avant le petit verre de Roussette :
"Santé , Amour, Vacances . . ."
A l'arrivée des Vacanciers, une question revenait chaque fois "Clovis, quelles sorties fais-tu cette semaine ?" et "quel soir fais-tu la Fondue ?". Il revoit encore des "fêtes", des vraies, où les murs transpiraient "la Roussette et l'Apremont" dans la petite salle à manger à voûtes ! Il remercie tout ceux qui l'ont aidé à créer ces ambiances extraordinaires qui ne peuvent s'oublier. Là encore, les vacanciers se reconnaîtront. Il faut aussi parler des ("buffets savoyards")  où la cuisine se "décarcassait" véritablement pour réussir le Buffet d'exception. Merci encore Josette qui, avec des moyens en personnel trop réduits, mettait au point un régal de produits frais, des salades diverses, le saumon entier, la hure de lapin, les pâtés maison, les diots, les pormoniers, les crozets, le beaufort, le sérac sur pommes de terre chaudes et, comme à chaque fête, un énorme gêteau maison, toujours présenté en grande pompe par Clovis et le cuisinier lui même. (voir gâteaux)
Il est très difficile de retranscrire 31 ans de travail dans ces quelques pages. N'hésitez pas à transmettre à Clovis  tous les souvenirs que vous auriez personnellement, ils pourraient être ajoutés à ce document qui deviendrait vraiment "le document recherché des souvenirs de Jeunesse &   Famille",  période Clovis, car une autre page, dans le même temps, est en train de s'écrire après lui.
Cependant, la vie de travail ne s'arrêtait pas là, loin s'en faut,  il y avait la gestion de la Maison, toujours fragile par des prix volontairement bas, le plus bas possible était la règle. Pour cela, il fallait avoir des bases de management et de gestion solides : il y a des règles, si la Maison n'avait à l'époque pas d'objectifs commerciaux, il fallait rénover et penser aux investissements à venir ...
A 34 ans Clovis commence une formation dans le cadre de la "formation continue" sur trois ans à l'Université d'Aix-Marseille 11. Il s'efforçera, pendant ce temps, d'emmagasiner un maximum de connaissances dans un minimum de temps. Cette formation extraordinaire se termina par un "Diplome pour Cadres d'Associations et d'Organismes de Tourismes Sociaux et de Loisirs" 
(diplôme).
qui lui servirait à présenter des dossiers près des Organismes Sociaux à l'obtention de subventions pour la réalisation des travaux pour moderniser et mettre aux normes, de plus en plus draconniennes, la Maison Familiale de Vacances.
A partir de là, une nouvelle période l'amena progressivement à réfléchir. Quel était l'avenir de cette trop petite Maison sans confort et quel était son propre avenir et celui de sa Famille ? En 1973, un deuxième fils arriva, Vincent. Il naissait dans un environnement très collectif. Elever des enfants dans un milieu de fêtes et de Vacances, sans vraiment de cloisons familiales, était un véritable défi.

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La Fondue un

prétexte

pour faire

la fête, la

vraie !


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Après 1980, Clovis

cherche comment

péréniser cette

Maison ou

il a mis

Toute sa force

et son coeur.

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clovis pereniser la maison familiale
Clovis pensa sérieusement à rechercher un autre poste. Il le trouva et, prêt à partir, l'annonça à sa Famille qui prit très mal la chose et le pria de renoncer à ce projet. Tous étaientt trop habitués à Méribel et ne comptait pas partir de sitôt ! Il abandonna donc ce projet et continua à réfléchir à l'intérêt général.
Bientôt une grande idée germa peu à peu. Puisqu'il lui fallait rester, il devait apporter le confort aux familles, changer la Maison Familiale et l'ouvrir sur l'avenir vers un Centre qui répondrait aux besoins des Familles dans vingt ans ! Pour cela, un agrandissement devenait indispensable. Quelle serait la réaction de l'Association à ce projet qui, vivant loin, ne voyait pas toujours la necessité du changement ? Il fallait la convaincre et, il le savait, seul son l'enthousiasme pouvait le faire.
(voir page Jeunesse & Famille).
Peu à peu ce grand projet se réalisa, d'abord avec l'agrandissement de 1982 et la rénovation de la cuisine, mais ceci n'était que le début d'un vaste projet, ambitieux, de développement de la Maison Familiale vers un Centre de Vacances qui pérenniserait l'oeuvre sociale et familiale !
Dans ces années-là, à la veille de ce grand projet, est apparue la nécessité d'avoir un support et un suivi comptable de poids capable de contrôler toutes les possibilités financières d'évaluer les chances de réussite du projet. Le secrétaire général de l'Association de l'époque, un homme remarquable qui toujours aida et aima Jeunesse & Famille, proposa une personne de sa connaissance. Il fallait du courage pour entrer bénévolement faire la comptabilité, qui pour le moins, était moyennement tenue. Cette personne entra cependant et remit un ordre minutieux dans les comptes, avec énormément de travail. Il remercie également chaleureusement cette personne qui se reconnaîtra aisément.
Un premier grand projet pouvait alors voir le jour et devint réalité en 1982. (voir page Jeunesse & Famille)
Après ce projet réussi, dans le hasard de la vie et sur la lancée, Clovis fut élu Président du Secteur des Deux Savoies de la Fédération des Maisons Familiales de Vacances et, de ce fait, devint Administrateur Fédéral national, une lourde charge supplémentaire. Dans le même temps, il avait pris le secrétariat des Conventions Régionales de la CRI-Prévoyance pour les personnels des Maisons Familiales.
Il a fait tout cela pour mettre la Maison dans une situation qui lui permettrait de la placer au sommet pour l'avenir du grand projet final. Il fallait en effet
être présent pour figurer dans les Maisons Familiales qui resteraient et qui compteraient sur le plan national. Cela ne fut pas très bien compris par le Conseil d'Administration et, plus particulièrement, par son président de l'époque. Une période difficile, lourde de suspicion, s'installa peu à peu et les relations devinrent très tendues. Clovis ne comprenait pas qu'en ayant tout donné et en travaillant de plus en plus,  en tenant la Maison Familiale au sommet, on pouvait le soupçonner de ne pas tenir bon le poste de Directeur. C'était un problème d'hommes et d'incompréhention mutuelle. Six ans après son élection, pour des raisons de politique interne à la Fédération, il démissionna.
Nous étions alors dans les années 1990 et Clovis se lança dans de nouvelles
"passions-animations"
l'astronomie d'abord et le "parapente" ensuite. Pour l'astronomie, un gros télescope de 205 mm. fut acheté et des nuits entières ou presque, l'hiver ou l'été, furent passées au site du télescope en pleine nature sous la maison. Il fallait également beaucoup de temps pour consulter les principales revues et lire les livres comptant en Astronomie. L'inventaire du ciel et de ses Constellations mais aussi l'observation des Planètes ou des Nébuleuses, par exemple l'hiver dans Orion, sont alors passées dans le petit viseur du télescope à la plus grande joie des passionnés d'astronomie, mais aussi à un grand nombre de Vacanciers qui découvraient "l'infiniment grand".
 

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clovis et astronomie
On pouvait observer les anneaux de Saturne, les jolies bandes colorées de Jupiter, les phases de Vénus ou Mars la planète rouge, bien sûr qui, à une certaine époque s'était tellement rapprochée de la terre que l'on pouvait deviner au téléscope la blancheur du pôle de la planète. Le bonheur était total pendant une dizaine d'années où l'astronomie compta dans l'animation. Souvenir de ces soirées passionnantes :

"Nous allons ce soir, avant l'observation des anneaux de Saturne, vous parler du triangle d'été qui permet de vous montrer les trois étoiles les plus brillantes du ciel, Déneb dans la constellation du Cygne, appelée aussi Croix du Nord, Véga de la constellation de la Lyre et enfin Altaïr de la constellation de l'Aigle.
Nous allons commencer par chercher dans le ciel la Croix du Nord qui, elle, est très facile à reconnaitre. Vous voyez l'étoile qui brille le plus dans cette direction, c'est Déneb. Cette étoile blanche est très massive puisqu'elle est à 500 années-lumière de la terre ! Voyez en dessous, il y en a une assez brillante puis, beaucoup plus bas, il y en a une autre un peu moins lumineuse entre les deux. Faites un trait du haut en bas et revenez à l'étoile sous Déneb ; de chaque côté d'elle, assez loin vous avez une étoile brillante. Faites le trait dans l'autre sens et vous avez une croix parfaite dans le ciel
sous vos yeux, extraordinaire ! etc."

Une nouvelle passion naquit au printemps 1991 lorsque Serge passa à la Maison pour faire la promotion de la toute nouvelle école de parapente qu'il venait de créer avec Pierrot. Il passait dans toutes les collectivités et hôtels de la station pour la promotion de l'école. Pour Clovis ce fût le choc. En effet, il y avait longtemps qu'il avait envie de quitter la planète vers "les étoiles . . .", et de voler avec les oiseaux. Cela n'est pas si facile. Il s'inscrit donc comme premier élève de l'école de parapente "Mérib'Ailes" en juin 1991. Il associa par la suite l'école à des stages avec l'hébergement à la Maison Familiale et, là aussi, il y eut de grands moments, de belles fêtes qui ont laissé de grands souvenirs. L'école avait mis en place, avec l'aide matérielle de la Maison, des sorties dites 
"Grande Vadrouille", sorte de stages itinérants qui parcouraient les deux Savoie de long en large et de haut en bas. Ces vols étaient idéaux pour découvrir des coins perdus de montagne. Là aussi, cette activité était dans la pure tradition de la Maison Familiale, toujours le partage et l'amitié qui grandissaient devant la peur de l'inconnu, voler, quitter la terre ferme ! (Cette passion dure ) et les années ne font que stimiler l'envie. Clovis a aujourd'hui 900 vols à son actif. Hélas, l'association des amis de départ a éclaté. Encore des histoires d'hommes et d'associations ! Il remercie cependant vivement tous ceux qui l'ont aidé, formé et lui ont permis et lui permettent encore ces véritables moments de bonheur.

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Clovis n'a pas

toujours les

pieds sur terre,
 
il est

un peu

aussi dans

les étoiles


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clocloferata

Les années 90,

ont été des

années de préparation

au grand projet,

 celui qui

 pourrait continuer

sans lui le  grand rêve

sans doute
une utopie

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clovis une maison familiale moderne
Dès les années 1980, l'informatique fit sa percée et il était évident que plus rien ne se ferait sans elle à l'avenir. Clovis prit conscience de cela et fit rapidement des stages de base pour savoir ce qu'était l'informatique, puis rapidemment, il informatisa la Maison. Les programmes, à cette époque, n'étaient pas ce qu'ils sont devenus, et des informaticiens nous écrivirent rapidement un programme en "Basic" pour l'adapter à notre activité. Malheurement, ces programmes "plantaient" sans arrêt et les données comptables n'étaient pas toujours ce qu'elles auraient dû être, des données fiables. Toutes ces erreurs lui étaient souvent attribuées et il devait se débrouiller par lui même. Pour cela, il apprit le langage "Basic" et put ainsi régler lui même les "bugs" du programme".Que de nuits passées à chercher où était l'erreur. Les comptables aiment qu'on leur donne du parfait. Très vite ce langage basic devînt caduc, et il fit appel à un autre fournisseur. Celui-ci n'était pas sans défaut non plus, mais tout de même beaucoup plus sûr et plus moderne. Mais il fallait apprendre à s'en servir et, de plus, à comprendre son fonctionnement. Il fit de nouveaux des stages. Bientôt mis à l'épreuve, Internet arrivant, il commença à se passionner pour ce nouveau moyen de communication, ce qui lui permet maintenant de conserver l'ouverture vers vous et vers le monde d'où l'envie historique d'ouvrir un site et de continuer à communiquer avec tous les anciens Vacanciers, souvent devenus des amis, mais aussi avec tous ceux qui le souhaiteront. A tous ceux qui liront ces pages, merci de prêter attention à ce récit que déjà beaucoup connaissent, soyez les "Bienvenus" et n'hésitez surtout pas à le contacter et à apporter vos souvenirs et vos suggestions à l'édifice commun.

A cette époque, on lui imposa également un contrôle fiscal pur et dur diligenté par une inspectrice. Ce furent quelques années extrêment difficiles à vivre. Clovis ne comprenait pas la non plus, ce qu'on lui reprochait
(voir page de Jeunesse & Famille). Il considérait avoir passé sa vie au service des autres sans ambition financière ;  son intérêt était bien ailleurs, mais allez faire comprendre cela à une inspectrice des impôts qui vous regarde comme un coupable dès son arrivée. Pour le fisc, vous devez forcément avoir quelque chose à vous reprocher. Il garde un très mauvais souvenir de ces années qui se terminèrent très bien d'ailleurs. Le jour où il arrosait ses 500 vols en parapente avec des amis, il reçut l'avis qui terminait ce contrôle avec un redressement zéro, le grand bonheur !
Nous sommes maintenant dans les années 90, les tensions avec certains administrateurs se sont calmées. Il est maintenant possible de travailler sereinement au grand projet,
(voir page Jeunesse & Famille) le "projet final"
en tous les cas pour lui, celui de tous les dangers, celui qui ferait le grand Centre de Vacances qu'il n'aimait pas forcément, mais celui qui resterait et aiderait son successeur, il l'espérait,  à continuer dans les années post-2002 avec un Centre ouvert à la modernité.

On ne peut pas toujours être dans les étoiles ou avec les oiseaux, dit-il, il faut aussi être pragmatique et sentir l'avenir : c'est le travail du Directeur.


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clovis et le cervin matterhorn
Clovis avait 55 ans lorsqu'il reçut un coup de fil d'un ami, guide de Haute Montagne, qui lui proposa de "faire le Cervin" (
voir les images du Cervin). Nous étions au mois de septembre et il venait de terminer une saison d'été avec trois randonnées par semaine. Comme chaque été, il avait fait 30 000 mètres de dénivelé. Il était donc en pleine forme physique. Mais le Cervin, c'est le Cervin, et il fallait réfléchir, pas trop longtemps d'ailleurs car son ami attendait, il lui fallait donner une réponse sans plus tarder. C'est alors qu'il se dit, "c'est maintenant ou jamais, j'ai 55 ans et je ne connais pas l'avenir, il faut dire oui" et ce fut sa réponse. L'entreprise fut parfaitement réalisée grâce à la qualité d'Alain, grand et sympathique guide (merci Alain, merci vraiment). Le pique-nique rapide se déroula sous la corniche à 4478 m au dessus de la grande muraille de 1300 m qui domine côté Italien. Du sommet, la vue était extraordinaire, avec une journée bleue sans un nuage. Ils pouvaient voir les montagnes, de l'Autriche à la Méditerrannée en passant par le Mont Blanc, quel spectacle grandiose et merveilleux !
 Arrivés trop tard à la télécabine le soir, ils durent descendre à pied à Zermatt, c'est à dire de 4478 m à 1620 m soit 2858 m de dénivelé ! Il leur fallait aussi prendre le train qui descend au parking et rentrer fatigués, très fatigués, dit-il, à Méribel. Ce merveilleux souvenir restera innoubliable et, marquera sa vie de montagnard.

Le grand projet de construction était prêt. Clovis connaissait les difficultés et les changements qu'un tel projet allait apporter, mais il savait aussi qu'il n'y avait pas de "Plan B." Il fallait le réaliser maintenant, tout les partenaires financiers ou administratifs semblaient d'accord, c'était maintenant ou jamais. Cela se fît en 1999, d'avril à décembre. (voir aussi la page Jeunesse & Famille). Ce ne fut pas une partie de plaisir à 3 ans de la retraite, mais il ne fallait pas lâcher, la tâche et le devoir jusqu'au bout. De plus, il savait que beaucoup de ses amis, anciens pensionnaires, n'étaient pas d'accord avec ce projet. Pour eux qui avaient des souvenirs merveilleux, pour eux qui revenaient toujours pour cette petite maison où l'on trouvait un accueil familial et amical, pour eux, pourquoi changer ?
Pendant les trois années qui restaient maintenant, il avait comme volonté et comme ambition, de maintenir l'ambiance que l'on avait connue malgré le changement structurel. Cela devenait vraiment très difficile. Il y est parvenu en partie, en partie seulement... La tendance n'était plus aux petites Maisons Familiales de Vacances, les nouveaux utilisateurs nécessaire à l'augmentation de lits, ne pouvaient faire la différence dès l'arrivée. Souvent, lorsqu'ils adhéraient enfin aux particularités de cette Maisons, leurs vacances étaient terminées. La plupart revenaient, mais certains ne comprenaient pas le message et le travail s'alourdissait. Que l'on puisse être accueilli de nos jours avec le cœur mais pas avec un porte-monnaie, "c'est impossible" , cela ne se fait plus, on doit gagner vite de l'argent et... consommer.
Clovis est arrivé à la retraite en 2002, beaucoup de monde était là. Il remercie d'abord tous le personnel qui est venu très nombreux les surprendre avec tellement de gentillesse un week end de mai 2002.
(photo). Merci aussi à tous ceux qui n'ont pas pu être là. Sans eux, la Maison Jeunesse & Famille ne serait pas ce qu'elle est de nos jours !  Il espère que vous serez nombreux à regarder cet hommage sincère, n'hésitez pas à donner de vos nouvelles ; vraiment ceci lui ferait un grand plaisir. Clovis s'est toujours considéré partie intégrante du personnel. Il fallait bien un responsable, un chef d'orchestre, il l'a été et a fait de son mieux. La tâche n'était pas toujours facile car il était entre le marteau et l'enclume. Il remercie tous ceux qui ont monté cette sympathique fête. Merci à ceux qui ont fait les recherches nécessaires et à ceux qui ont "fouillé" par nécessité dans les papiers pour retrouver les noms des personnes ayant travaillé à Jeunesse & Famille" depuis 1971, ce n'était pas facile. Merci également à Alain (l'autre, le Vendéen) pour sa magnifique animation et sa participation durant sa cure à Brides, tu as été merveilleux comme toujours ! (cliché)

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Pour Clovis,

la retraite approchait

aucune de ses

habitudes

ne changeraient

une vie simple sa Famille

et . . . la montagne

le combleraient




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Une montagne

de souvenirs

et des

Souvenirs de

montagne . . .


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clovis souvenirs de montagne
Au mois de juin, était venu le temps de l'hommage des Vacanciers. Merci sincèrement à tous ceux qui ont participé physiquement
(voir photo) mais aussi à tous ceux qui se sont manifestés. Enfin, merci à tous, qui lui avez beaucoup apporté. Ils nous ont trop gâtés, dit-il.
Clovis a déjeuné pendant 20 ans tous les jours à une nouvelle table, souvent le midi et le soir avec, au menu les problèmes des personnes présentes, mais aussi et surtout, il a partagé leurs connaissanes et leur savoir. Il a beaucoup écouté,  pour lui, c'était passionnant.
Merci également à Maurice Gouedard qui a bien voulu se déplacer pour l'occasion et qui a fait un bel article
(article) qu'il conserve en souvenir de cette belle journée.
Il remercie également  tous ceux qui sont venus spécialement pour son départ à la retraite tout au long de la dernière saison d'été 2002,
(photo familles
) faire les dernières balades, (photo du Col du Petit) partager les derniers pique-niques, le dernier fromage, la dernière Roussette et la"pchit à gotè". Cela l'a beaucoup touché, et il a été vraiment heureux de vous retrouver, de retrouver ses amis-vacanciers ou ses vacanciers-amis !
 Il n'est pas possible de citer tout les noms sur cette courte rubrique mais, chacun se reconnaîtra
(Alsaciens). Ils sont devenus des amis, dit-il, et il sera toujours heureux de les revoir et de faire une "petite balade" en leur compagnie. Vous pouvez aussi les appeler, Josette et Clovis seront toujours heureux de vous entendre et d'avoir de vos nouvelles. Avec ce site, vous avez un moyen direct de les contacter, juste un petit clic ...  Il doit pérénniser le lien qui rompt la solitude même s'il sait bien que la page est tournée et que les souvenirs s'estompent vite.
Enfin, dans l'ordre, vint la mise à la retraite définitive par le Conseil d'Adminitration en septembre 2002,
(photo CA) avec remise des médailles et plus particulièrement celle du travail. Il a une pensée amicale toute paticulière pour tous les disparus du Conseil d'Administration entre 1971 et 2002 qui n'ont pas attendu sa retraite pour nous quitter.
Que dire au Conseil d'Administration ? Qu'il a fait tout ce qu'il pouvait pour mener à bien la mission qui lui avait été confiée. Qu'il a essayé de faire retentir haut et fort l'honneur de "Jeunesse & Famille" et stimuler la réussite du projet de l'Association. Sans tous ces projets, que serait devenu "Jeunesse & Famille" de nos jours ? Il a lutté jusqu'au bout pour conserver l'idéal qui était le leur, la Famille. Il a essayé de pérenniser l'entreprise et souhaite à son successeur une grande et belle réussite. Il souhaite qu'il écrive à son tour une belle et longue page d'histoire.
Merci à Alain Etievent et à la commune de sa participation et de la belle médaille des Allues. Clovis a adoré cette vallée qu'il connait parfaitement, merci à ses voisins du village de Morel et plus particulièrement à Thérèse et Michel.  S'il n'a pas été assez présent parmi vous, c'est par la charge du travail et par ses nombreuses occupations.
Merci à Christian, Président actuel et à tous les membres du Conseil d'Administration. Merci à Véronique pour la belle médaille du Conseil Général de Vendée, Clovis n'oubliera jamais ses origines Vendéennes mais son coeur ne peut battre que dans ces hautes montagnes !.
Il souhaite à tous ceux qui liront ce petit résumé d'avoir sa chance d'avoir pu vivre cette belle et longue vie professionnelle, riche, passionnante et passionnée, mélangeant le travail et les loisirs dans un magnifique cadre montagnard. Il espère surtout avoir apporté un peu . . . un tout petit peu de bonheur autour de lui, merci à vous tous et mes excuses à ceux que je n'ai pas compris.

Voir l'histoire de Jeunesse & Famille

Voir l'histoire de Jeunesse &  Famille de 1957 à 2002.





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Envoyez vos meilleurs souvenirs de montagne ou de séjour. Merci.

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